COMMUNIQUE DU GROUPE DE SUIVI SPORTIF ET DECISIONS
Nous mesurons à leur juste niveau les déceptions des sportifs et nous ne sommes pas
insensibles à ce type de problèmes liés aux faits de course et à l’ injustice que cela peut
provoquer si l’on ne raisonne pas de manière générale .
Toutefois de nombreuses situations similaires se sont produites ( dessalage
notamment)et le GSS a , après débat , donné aucune dérogation qui aurait ouverts des
questions d ‘ équité .
La question de la dérogation est posée ; à partir du moment ou un athlète ne passe pas
la ligne d’ arrivée et donc n’est pas dans les critères de sélection tel que défini dans le
règlement , quelle est la règle concernant les dérogations que pourraient accorder le
GSS dans son rôle de comité de sélection ?
– En premier lieu un fait de course du à un problème d’organisation ; effectivement là
on se doit de « privilégier » le sportif et de lui accorder une dérogation .
– Un fait de course lié à justement ce qui caractérise ces épreuves de fond ; dessalage,
navigation de groupe qui provoque l’incident et d’autres situations encore .. ; sur ce
débat il a été décidé de ne récupérer personne , la dérogation reste dans l’exceptionnelle
et au delà se pose d’autres questions qui amènent à la réflexion suivante :
cette course interrégionale est une sélection, si le nombre de dérogations données sont
nombreuses à quoi sert cette sélection ?
Aux Championnats de France un dessalage ou un bris de gouvernail du favori de la
course ne fera ni recourir , ni arrêter la course ; le(la) sportif(ve) sera malheureusement
Croyez – bien que ce type de réponse ne nous convient pas en l’état parce qu’elle touche
l’humain mais sur une partie « gestion nationale » elle est adaptée à la situation, déjà
murement réfléchi par les 11 membres qui composent le GSS.
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